Soutiens
Vincent Cespedes
philosophe, essayiste et conférencier,
https://fr.wikipedia.org/wiki/Vincent_Cespedes
« L’espéranto, expérimenté depuis un siècle par des milliers de locuteurs, devrait être enseigné dans toutes les écoles de la Communauté. Cette langue artificielle riche et simplissime peut être maîtrisée en une seule année, quand nos élèves ne peuvent comprendre un ouvrage anglais après 7 ans d’étude. »
Vincent Cespedes, La Cerise sur le béton. Violences urbaines et libéralisme sauvage (2002)
Brittany Anjou
pianiste / compositrice
https://www.brittanyanjou.com/
« L’espéranto c’est comme le jazz, c’est une musique d’échanges où on construit ensemble, où on imagine ensemble un monde meilleur. »
« L’espéranto et le jazz sont les deux langues du siècle précédent qui associent conscience et démocratie globales dans l’acte de jouer du jazz et de parler l’espéranto. C’est une joie de créer dans les deux idiomes. »
Robert Phillipson
linguiste, professeur émérite au département de management, société et communication de l’École de commerce de Copenhague
https://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Phillipson
Je connais l’espéranto comme réalité depuis presque 25 ans. C’est une langue vivante dans beaucoup de contextes internationaux. Pour des centaines d’enfants l’espéranto est une langue maternelle à côté d’une langue nationale, ce qui mène aux avantages cognitifs et interculturels du bilinguisme. Mais les défenseurs des « grandes » langues réussissent toujours à marginaliser l’espéranto. Dans un monde fragile et dangereux, le potentiel de l’espéranto comme langue d’égalité et de paix devrait être pris au sérieux.
Je peux ajouter comme preuve de l’utilité de l’espéranto qu’un livre que j’ai écrit en anglais sur les politiques linguistiques européennes ne serait jamais paru en français si il n’y avait pas eu trois espérantistes français qui connaissaient l’existence de la traduction de l’anglais en espéranto du livre. L’anglais n’est pas du tout la seule langue « internationale » !
English-only Europe ? Challenging language policy, Londres : Routledge 2003.
Ĉu nur-angla Eŭropo ? Defio al lingva politiko, Rotterdam : Universala Esperanto-Asocio, 2004, traduction : István Ertl.
La domination de l’anglais : un défi pour l’Europe, Paris : Libre & Solidaire, 2019, avec une préface de François Grin, traduction : Élisabeth Barbay, Bernard Cornevin et Marcelle Provost.
Vous trouverez sur Wikipedia le projet « Vizaĝoj » (/vizad͡ʒoj/ signifie « Visages » en espéranto). Il consiste à faire connaître les visages des personnalités les plus éminentes liées à l’histoire du mouvement pour une langue internationale et originaires de différents pays.