Espéranto-Aktiv n°111 - avril 2020

Malgré le confinement, la vie de l’association Espéranto-France continue sous une forme un peu plus virtuelle que d’habitude. Nos bénévoles ne peuvent plus se rendre au siège de l’association, mais différentes activités en ligne peuvent continuer.
L’assemblée générale de l’association est prévue pour le samedi 13 juin et nous ne savons pas encore à l’heure actuelle si elle pourra se tenir ou non. En espérant qu’elle puisse se dérouler, nous allons parler ce mois-ci du fonctionnement de l’association et comment vous pouvez y prendre part.

Retour sur quelques événements de février et mars : stage de chorale, journée des langues et divers autres événements.

Une des leçons à tirer de la crise sanitaire actuelle devrait être qu’aucun pays ne peut éviter un danger en ignorant ce qui touche les autres. Deuxième leçon, un peu plus difficile : face aux crises, mieux vaut coopérer que s’opposer. Et une troisième encore plus difficile : pour coopérer, il faut se parler. Parviendrons nous à la dernière : pour se parler il faut une langue commune ? La devise du 63^e concours Sumo international d’espéranto, du 10 mai au 24 mai, est Lisez des livres et changez le monde ! Chiche !

Voici le quatrième livre de Kalle Kniivilä sur la Russie, un pays à la porte du sien qui l’intriguait du temps de sa jeunesse (l’auteur est un Finlandais né en 1965). Le principe est le même que dans ses précédents livres : donner la parole aux habitants, soit par de longues interviews, soit en citant leur journal. Et ici, se limiter à ceux de l’île Vassilievski de Saint-Pétersbourg, au bord du golfe de Finlande, qui plus est à ceux de la rue qu’a habitée Tanja sur la 2^e ligne (la ville est quadrillée comme le sera plus tard New York).

Dans ce numéro du Monde de l’espéranto, paru en mars 2020 : l’espéranto accélère l’apprentissage des langues étrangères ; Poésie en liberté ; L’UNESCO, une priorité du mouvement espérantiste ; poursuite de l’édition en espéranto du Courrier de l’Unesco ; parler une langue avec un accent ; examen FEI du troisième degré ; Prix Paul Gubbins pour nouveaux talents journalistiques ; et en vélo autour du monde.