Découverte : Projets philanthropiques en espéranto
Les espérantistes sont souvent animés d’un idéal, un monde sans barrières linguistiques avec plus d’équité. Mais ils savent également passer à l’acte et œuvrer pour un monde meilleur, un monde plus juste. Plusieurs fondations et associations travaillent dans ce sens, pour réaliser des projets humanitaires soit pour aider au développement de l’espéranto dans des pays où les infrastructures d’enseignement viennent à manquer, soit pour d’autres buts en utilisant l’espéranto comme langue de travail.
Ils l’ont fait... dans leur région
En septembre, on retrouve l’espéranto sur beaucoup de stands lors des Journées des associations ou autres manifestations culturelles et solidaires. La tournée de conférence des Japonais Hori et Arai a aussi fait un tabac, surtout dans les villes où les espérantistes se sont associés aux associations écologistes, comme à Saint-Brieuc, Angers et Tarbes...
Calendrier
Avec un automne aussi beau et chaud, on regrette un peu moins l’été. D’autant plus que ce ne sont pas les activités, événements et rencontres qui manquent.
Il n’est pas trop tard pour s’inscrire aux stages et c’est même le bon moment pour toutes les fêtes de fin d’année (cf. à partir du 27 décembre en Allemagne) car il y a encore des tarifs avantageux.
Rendez-vous dans une ambiance chaude et festive !
Lu, vu, écouté ce mois-ci : « Min produktas vi », de Guillaume Armide
Guillaume Armide est un artiste dont la notoriété monte en flèche ces dernières années, il a traduit plusieurs morceaux du répertoire français de variété. De Sabine Paturel à Jean-Jacques Goldman en passant par des morceaux de Michel Berger. Il s’amuse avec les mots en adaptant ces chansons qu’il intègre dans la culture propre aux espérantophones. Il a également composé plusieurs morceaux dans un style parfois amusant, souvent émouvant, en tournant autour des thèmes qui lui sont chers tels que le développement durable et l’agriculture biologique. Il a également mis ses talents de pianiste au service de l’espéranto en écrivant un spectacle où il mêle la musique et un discours sérieux, qu’il appelle « Concèrence » (mot-valise composé de Concert et Conférence), pour présenter les qualités de l’espéranto et son utilité pour améliorer la communication internationale en gardant un ton général léger et drôle.